Fais ce que je, pas ce que je…

Puisque l’une des madames du gouvernement, en cohésion avec elle-même, s’est crue obligée de revenir sur la possibilité de casquer aux impôts pour tout le monde : riches et pauvres afin qu’il n’y a pas de jaloux.

Remarquez, j’en ai déjà entendu des pauvres qui aimeraient bien en payer eux des impôts afin de se sentir eux-même citoyen  par entière.

Le mouvement actuel a donné la marche à suivre d’une bonne augmentation générale.

Ce qui aurait pour effet immédiat de relever le niveau et d’atteindre le seuil de paiement.

De l’autre côté du spectre, il en existe qui font tout pour ne pas en payer ou du moins pas en proportion de ce qu’ils amassent.

Mais, curieusement, eux, ne demandent pas à toucher moins… Mais il existerait peut-être bien une solution qui satisfasse tout le monde ou du moins le plus grand.

Tout d’abord, instaurer un revenu universel décent qui permettrait à chacun de ne plus craindre les fins de mois en début de semaine, sous la réserve qu’il sache bien gérer la réserve donnée.

Sur ce revenu, soit l’on instaure une exonération totale d’impôts qui profiterait à tout le monde s’il est effectivement versé à tous.

Soit, si l’on pense que ce serait le comble du comble, instaurer une vraie progressivité avec plus de tranches pour éviter les faux pas d’escalier à marches surprises trop hautes.

Un autre coup de pouce pourrait être donné en supprimant la Tva sur une liste de produits déclarés de première nécessité et pas forcément une pâte à tartiner qui ne sert qu’à engrosser ou se battre lorsqu’elle est en promotion.

Il y aurait là justice pour tout le monde puisque la nécessité s’impose à tous sauf à choisir des produits de luxe de première nécessité.

Ensuite, supprimer les niches fiscales puisqu’elles ne peuvent être utilisées par tout le monde de manière égale…

L’argent ainsi économisé pourrait être versé aux priorités gouvernementales librement acceptées démocratiquement par l’ensemble des citoyens.

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