Faire comme avant ce n’est pas gênant…
Il n’y a pas que… Avant, pour les plus connus il y avait les châteaux forts pourvus de leur muraille de pierres.
Plus fort,la muraille de Chine, moins prétentieux mais plus volontariste d’une politique exclusive, le mur de Berlin, le mur israélien, le mur mexicain, voire, on rigole, la ligne Maginot.
Ces murs avaient, ont tous, la prétention velléitaire d’empêcher l’être humain de se promener à sa guise sur sa terre.
Car, tout petit l’homme a cru grand de penser qu’un terrien pouvait, devait être propriétaire de terres par lui annexés.
Mais en pays australe, l’on fait mieux, l’on érige une immense barrière électrifiée de 40 km pour empêcher les chats sauvages, devenus ennemis jurés, d’éliminer des espèces de race de bêtes entières.
Cela pourrait faire penser à non panneaux routiers annonçant qu’à partir de 150 m animaux sauvages, il peut y avoir comme si l’animal métrait ses foulées.
Mais depuis Maginot, l’on sait bien qu’il n’en est rien.
Le contournement est de rigueur dans la gestion des risques.
Mais, ici, il s’agirait plutôt d’un immense enclos pour parquer ces espèces qui sinon dépériraient.
Une sorte d’immense parc animalier en somme (si, si, il y en a un la-bas pour les oiseaux…).
Nos députés sont bien bizarres, débutants ou pas, ils font que leurs précédents malgré une soi-disante envie de marcher autrement.
Tout d’abord godillots comme ils le sont, ils marchent, courent sans que tête ne dépasse comme si la guillotine était encore présente dans leur rang.
Mais ya t-il seulement un roi prêt à décider au tranchage aiguisé ? Seulement, ils continuent à faire ce que les eurodéputés avaient engagé : la non disparition du glyphosate.
Cette substance est très fortement soupçonnée d’agir négativement sur la santé humaine.
Mais, là, contrairement au créneau porteur autoroutier aucune volonté d’agir sainement considérant que la vie économique libérale vaut mieux que la vie humaine.
Grâce au dernier amendement adopté en catimini, nous savons désormais que le produit survivra à son fabricant dont la maison mère a décidé de se débarrasser du moins le patronyme tellement il est devenu gênant.