Et si vous nous disiez plus ?

En France des droits de l’Homme, il semble qu’il soit choisi l’obligation pour tous de se faire vacciner.

En pays îlien d’Outre Manche, il est décidé que plus aucune mesure à la hauteur du pays ne sera prise pour contrer le pays.

Le vaccin existe, il ou plutôt ils sont présent s en nombre dans le pays – à l’identique en France.

Libre aux habitants de se faire vacciner ou non, libre aux réfractaires d’accepter de se contaminer jusqu’à une mort certaine pour les plus faibles d’entre eux.

Et pourquoi pas en France, accepter cette liberté et ses conséquences ? Pourquoi tourner la face vers un totalitaire sous couvert d’une protection de santé ? Et dire que ce sont les personnages de droite extrême qui se lèvent pour défendre une liberté en criant au risque de totalitarisme.

Une simple question : la vaccination est obligatoire.

Quelle action faire pour les obliger à recevoir les piqûres ? Une amende en cas de constat de manquement ? Cela fait rentrer des sous dans les caisses, mais rien pour contrer le refus.

Ceci dit, il faut en sortir.

Et justement, pour en sortir ne faut-il pas mettre en application une alternative.

Rendre obligatoire un vaccin pour faire telle ou telle action, notamment rencontrer en masse les autres, mais seulement jusqu’à ce que l’épidémie disparaisse.

Aujourd’hui, il nous est dit que l’emploi proche permet des milliers de postes disponibles.

Faut-il rappeler qu’il n’y a seulement que 4 millions, voire plus si l’on compte les exclus en formation ou les oubliés ou les purs exclus qui se seraient mal comportés.

Où est la vraie balance ? Si l’on comprend le local près d’ici, il nous faudrait renoncer avec les bontés d’ailleurs.

Ainsi, les parisiens ne pourraient-ils pas goûter aux trop fameux belons d’une partie du Finistère.

Le porc noir basque ne serait pas autorisé hors de sa zone de confort.

C’est vraiment cela que les écolos proposent ?

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