Et dire qu’on ne vous l’avait pas dit

Vous aviez déjà pris en pleine poire l’abrasion de l’Isf remplacé par un autre chargé de continuer à charger les plus pauvres des riches s’ils n’ont que maison principale en possession heureux d’être situé en sollicitude marché affolé.

Et cela recommence chaque année qu’état collecteur/donneur fait.

Et ce n’est certainement pas les miettes de réduction prévues si elles ne sont pas repoussées qui réduiront le fossé qui s’enfonce de plus en plus.

Désormais, avec cette république en marche dans le bon sens de la déontologie capitalistique, il en est de même avec les prud’hommes.

Alors que le simple quidam salarié ne peut plus guère espérer en indemnisation d’un licenciement abusif plus que le plancher statué par les dirigeants, il se trouve qu’un aisé bien placé en poste a pu obtenir un bonus de 1 million 400 000€ qui fait verser de ruissellement des larmes à son employeur banquier.

Cela fait beaucoup penser à ce qu’avait touché un ancien ministre fort en thème de je suis le plus beau laissez-moi faire.

Vous savez, celui qui a touché plus de 40 millions de nos beaux euros en préjudice moral alors que, par exemple, les vrais atteints de maladie professionnelle peinent à recevoir leur dû au compte d’une maladie professionnelle qui peine à être reconnue dans la pratique de tous les jours.

Bonne nouvelle le projet de loi dont tout était décidé pour rendre la prise de retraite plus pénible est repoussé pour…mieux faire passer celui encore en cours pour apprendre aux actifs comment mieux travailler dans un temps plus long.

Mais à l’horizon, il n’y a rien de prévu pour obliger les patrons à ne pas licencier leurs très vieux salariés à partir de 45 ans.

A l’horizon, il n’y a que l’échéance des municipales ce qui n’a strictement rien à voir, juste une malheureuse coïncidence qui fera les choux gras des chroniqueurs de toute espèce.

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