En ce moment 1/3 de la population en France est à nouveau confiné, même si Emmanuel Macron n’aime pas cette expression. Le fait de le nommer autrement ne change rien. D’autres départements pourraient rejoindre ce premier lot.
Est-ce dramatique ? Non, pénible certainement, même sans être dans un des départements rouges, le couvre-feu, les restaurants, cafés, théâtres, cinémas, … fermés ça devient lassant, il y a un réel « manque ».
Mais, plus le temps passe, plus le nombre de personnes qui ont attrapé la Covid-19 augmente. Il y a quelques mois, il était rare de connaître quelqu’un qui avait attrapé la Covid-19, aujourd’hui c’est assez fréquent. Heureusement, dans la majorité des cas, les gens ne sont pas hospitalisés, du paracétamol perdant deux semaines et c’est fini.
Même si le corps médical ne sait pas combien dure l’immunité, elle existe. Donc, une population qui forme un début d’immunité collective.
À côté de cela, il y a de plus en gens qui sont vaccinés (même en ayant simplement la première injection, ils sont déjà assez bien protégés).
Progressivement, nous attendrons avec la somme de 2 populations (anciens malades et vaccinés) l’immunité collective et le coronavirus ne pourra plus se propager. Pour protéger un pays en entier, nul besoin de vacciner 100 % de la population.
Ce qui fait, que prochainement, peut-être avant l’été, la propagation de la Covid-19 va s’éteindre.
Nous serons dans l’après-covid.
Aujourd’hui nous accusons la Covid de tous nos maux, dès que quelque chose ne va pas … c’est la Covid, il faudra trouver une autre cible.
Demain, le monde va-t-il redémarrer comme avant ? Depuis, une année, nous avons pris de nouvelles habitudes, dans tous les domaines : loisirs, sport, sorties, …
Va-t-on retourner dans les restaurants, dans les salles de sports, … comme par le passé. Ceux qui travaillaient dans ces établissements fermés pour le moment, vont-ils y retourner ? Combien ont donné une nouvelle orientation à leur carrière ?
De nombreux problèmes vont se poser dans l’après-covid.
Nous serons à nouveau libres de nos mouvements, mais le monde va mettre des mois, peut-être plus longtemps que la crise de la Covid-19 pour retrouver – non pas ses anciennes marques – mais de nouvelles marques correspondantes aux nouvelles attentes de chacun d’entre nous.
Nous devons, dès à présent, penser à l’après Covid-19.
