C’est le gouvernement qui a commencé.
Son patron réélu à majorité relative a jeté la poudre sur les braises incandescentes des gilets jaunes.
Sa cheffe du gouvernement a mis tout son talent qu’on aurait aimé utiliser pour une vraie réalité sociale.
Et le petit de l’intérieur, qui se verrait bien plus grand ailleurs, y est allé de son souffle pour attiser la colère par l’emploi d’une force de l’ordre s’armant illégalement.
Pour le réélu à majorité relative, les yeux endeuillés, les bras en charpie, les oreilles ne sonnant plus juste, c’est de la piétaille, il s’en fout.
Pour lui sa violence est légitime, c’est sa Démocratie.
Des violences, nous pouvions les prévoir, c’est ainsi lorsque l’on désespère vraiment les gens.
Mais s’attaquer physiquement à un membre de sa famille qui ne peut absolument rien aux errements de l’époux de sa grande tante, est un acte que l’on ne devrait jamais voir.
Car c’est l’approche du totalitarisme, voire pire en plus.
La décision de juger un ancien président de trois ans de prison dont un ferme fait pencher la balance pour la préférence à la Démocratie.
Il faut la préserver.
Certains amuseurs écolos font éloge d’un certain pays nordique qui met sa politique au tout électrique voiture.
C’est ainsi que ceux qui acceptent de jouer le jeu, en plus d’avantages financiers, ils ont droit au péage, parking, et plus, presque gratuit, avec le droit de rouler dans les couloirs de bus.
Ce qui permet à ces heureux conducteurs de narguer les autres qui continuent de polluer à tout va dans leur file d’embouteillage.
Est-ce bon pour la planète ? Et, de plus, sans le cacher, ces investissements sont possibles grâce à la vente des revenus pétroliers à d’autres nations.
Ainsi, ce pays s’offre une politique verte grâce à la fente d’un produit polluant hors leur terre.
Est-ce bon pour la planète ?
