Le 6 juillet 1863, le fils d’un notable ayant bâti sa fortune dans la soie, Henri Germain, associé à des hommes d’affaires lyonnais et genevois, crée la Société des dépôts et des comptes courants, qui deviendra le Crédit Lyonnais.
Le 6 juillet 1880, pour fêter la chute de la monarchie et la Révolution française, le gouvernement choisit la date de la prise de la Bastille comme fête nationale, le 14 juillet. La première fête nationale serait célébrée dans la foulée, le 14 juillet 1880.
Le 6 juillet 1885, Louis Pasteur test pour la première fois son vaccin contre la rage, sur Joseph Meister un jeune berger alsacien de 9 ans. Cet enfant venant d’être mordu par un chien ayant, probablement, la rage. Sa recherche sur la rage avait commencé en 1880 avec Calmette, Roux et Chamberlan.
Le 6 juillet 1938, face à l’antisémitisme des nazis, le président des États-Unis, Franklin D. Roosevelt organise une conférence internationale, pour secourir les juifs dont l’Allemagne ne veut pas. La conférence s’est tenue au bord de Genève, à l’hôtel Royal d’Évian, du 6 au 14 juillet. C’est un échec, ce qui permet à Adolf Hitler de déclarer « C’était honteux de voir les démocraties dégouliner de pitiés pour le Peuple juif et rester de marbre quand il s’agit vraiment d’aider les Juifs ! »
Le 6 juillet 1944, le Premier ministre Winston Churchill dresse le bilan de 3 semaines de bombardements Allemands avec des fusées V1 sur Londres. Le bilan est lourd, 2 752 morts et plus de 8 000 blessés.
Le 6 juillet 1988, la plateforme pétrolière Piper Alpha, explose en Mer du Nord causant la mort de 167 personnes. Cette plateforme appartient à l’Occidental Petroleum.
Le 6 juillet 2013, au Québec, un train transportant du pétrole. Sur les 72 wagons-citernes, 5 explosent et prennent feu au moment où le train traversait la ville de Lac-Mégantic. Le feu ravage le centre-ville, tuant 49 personnes et nécessitant l’intervention de 150 pompiers.
Le 6 juillet 2015, restriction du droit d’asile en Hongrie et décision de construire un mur séparant la Hongrie de la Serbie sur 175 km de long, adopté par le Parlement. Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, précise que ce mur n’est que temporaire.
