Le confinement n’a pas fait perdre l’envie du goût d’ailleurs des français.
2 grandes études qui a priori n’ont pas grand-chose à voir ensemble démontrent cet engouement.
Bien sûr, il y a ce confinement qui n’en fini plus pour certains de pourrir les week-ends à se reposer pour être en forme la semaine au chagrin.
Bien sûr, il y a ces privations et obligations liberticides, qui font croire positivement à la nécessité de se priver de dessert.
Mais, l’une concernant notre encore rêve de déplacement, met en tête de classement la Corse du Sud (5° mais 96ème en population) et la Haute Savoie (bonne 1ère tout en étant seulement 27ème en peuplement)comme un désir d’évasion de mobilité automobiliste.
Mais, il faut bien le dire, Paris et bouches du Rhône sont sur le podium, sans doute dû à la surpopulation de densité urbaine, respectivement 2 et 3ème en population urbanisée.
L’autre étude fait état d’une fixation de l’être qui a besoin de toit pour se protéger et se fixer.
Elle fait constater la déperdition des grandes villes étouffantes au profit du grand air qui n’est pas forcément comparable aux immatriculations.
Les gens des villes constatent qu’ils peuvent très devenir des gens de campagne sans être pour autant harassés du travail du paysan.
Ils espèrent profiter de la mode du télétravail acceptée par leur patron économe et leur famille accueillante pour se la couler plus douce et manger près de chez soi.
Le bobo des ville acceptera-t-il le bobo des champs qu’il deviendra sans faire taire maître coq label rouge ni le clocher de la belle dame église ? Attendons la suite de ce passionnant feuilleton promettant quelques bousculades dans les gares et certains barrages de péage.
L’église fait rage.
Pendant que son patron à vie prend son courage à deux mains pour aller en terres étrangères belliqueuses, ses ouailles font la manche auprès de leurs paroissiens pour toucher de quoi indemniser ceux qui ont été atteint de la pédophilie de leurs membres consacrés…
