Entendu, pas écouté

C’est entendu, j’ai écouté cette dame, digne représentante de son père dont elle a pris le parti en conservant certaines de ses expressions.

Ainsi font, font les petites marionnettes.

Mais, ce dernier est-il vraiment capable d’en tirer les ficelles ?

Si l’on n’y prête garde, son discours s’apparenterait à celui que devrait, pourrait tenir un honnête homme de gauche, d’ailleurs bien souvent, celle-ci se compare à l’extrême.

Oui, cette dame, toujours pourvue grâce à la fortune de papa, qui fait le beau, héritée d’un maçon d’un style pas vraiment franc. Donc, cette dame qui n’y connais certainement rien, se décide la défenderesse des Sdf.

Mais le grand drame de cette dame, c’est qu’elle ne peut s’empêcher de les opposer à aussi opprimés qu’eux : les immigrés ; ces nouveaux barbares venus de leur plein gré bouffer notre pain fait par leurs pairs.

Ah le beau jeu de dire que les français partis doivent dans leur nouveau pays se passer d’aides sociales de toutes sortes : la France grand pays de migration conquérante.

Certains sont partis faire fortune, d’autres quittant toute fortune, espérant seulement vivre, mais c’est bien commode de tout mettre dans le même tiroir, chacun y retrouvera son linge à partir du moment que l’on ne mélange pas torchons et serviettes propres pour les unes et saletés résiduelles pour les autres.

Bien entendu, les seuls bons immigrés se sont qui rapportent, donnent pour sa campagne ? Les autres ne sont que des bouches supplémentaires inutiles à nourrir.

Variation des mots même constante dans l’idéologie, halte aux envahisseurs qui n’est pas moi.

Voilà un projet sociétal historiquement vérifiable ; c’est bien connu, seules les populations ne se mélangeant pas survivent…

Et tant pis, si les mêmes que l’on veut chasser, viendront de force s’ils ne veulent pas mourir.

Vous avez entendu dans ces campagnes mugir…. ?

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