Édito : Pourquoi Notre-Siècle ?
Il paraît que le Rédacteur en Chef d’un magazine doit rédiger, régulièrement, un EDITO. Comme, il paraît que c’est moi qui joue ce rôle pour Notre-Siècle, alors me voilà devant mon clavier d’ordinateur pour écrire ce premier Édito.
Que les choses soient dites, une fois pour toutes, je n’écrirai pas d’Édito, ni tous les jours, et probablement pas toutes les semaines. J’écrirai un Édito, lorsque j’aurai l’idée d’un sujet … d’Édito.
Depuis, plusieurs années, j’avais envie d’un espace d’expression différent, où il soit possible de commenter (librement) des points de l’actualité, aussi politique, économique, sociale, sans thématique particulière.
Il y a les réseaux sociaux où cela est possible, mais également des sites d’informations qui poussent les internautes à publier des contributions.
J’ai essayé, mais ce n’était ça. Trop d’informations pour l’information, pas assez de commentaires.
Je ne sais pas si vous l’avez remarqué. Prenez, par exemple Facebook, c’est une espèce de fourre-tout, où vont se trouver pêle-mêle, des actualités, des commentaires, des photos d’anniversaire, de mariage, d’assiettes de nourriture, d’animaux (domestiques ou sauvages), ….
C’est peut-être un bon défouloir pour publier n’importe quoi, n’importe comment, mais ça ne donne pas envie d’autre chose.
Je cherchai un endroit où je puisse me placer comme un « observateur de mon temps », c’est ce qui m’a conduit à créer cet endroit et à l’appeler Notre-Siècle.
Mais, dans la réalité, ce n’est pas MON-siècle mais le NOTRE, car vous, lecteur, êtes comme moi un observateur de votre temps. Nous le sommes tous.
D’ailleurs, Notre-Siècle ne doit pas rester MON espace d’expression, mais doit devenir, également votre espace d’expression. Si certains internautes ont déjà, sauté le pas, et commentent (parfois) ce que je publie, n’hésitez pas à le faire, voire même à proposer des billets (qui seront publiés sous votre signature).
Un dernier, certains m’ont demandé comment je choisissais les sujets (incroyable mai vrai, il a des internautes qui m’écrivent). Je ne les choisis pas, ils s’imposent à moi. Il suffit d’un point d’actualité, d’une phase entendue ou lue dans les médias, pour que cela me donne l’idée et l’envie d’un développement (ça a été le cas avec le tremblement de terre au Népal, Le Républicains, l’achat des médicaments en ligne, l’assurance des chats et des chiens, …)
Ça suffit pour ce premier Édito, les prochains ne parleront pas de Notre Siècle, mais …. Vous lirez … RIDEAU !