D’un 14 juillet

Qui ose gagne – Ne pas subir –  Être et durer – Volontaire – Tue et prend la voile – Accroche-toi – Chasser la misère – Observe et frappe – A la vie à la mort – Toujours fidèle – C’est toi-même qu’il faut vaincre – Plus est en nous – Toujours plus haut – Le sage n’affirme rien qu’il ne puisse prouver – Les foudres de Jupiter protègent nos enfants – A la sainte barbe vive la bombarde – A la Sainte Barbe Vive la Rhubarbe – Lyon dans la guerre, Colombe dans la paix – Jusqu’à la mort…. Et papati, et papta.

Il y en a tellement que l’on comprend bien pourquoi ils ont autant, fiers de leur savoir-faire qu’ils tiennent à faire savoir.

Et, si parfois je rage, souvent souris à leur passage, force est pour moi de constater qu’ils sont indispensables dans ce monde hurlant.

Mais, à l’instar d’une force de justice faisant le pont entre ces militaires et les autres, civils de leur état, pourquoi n’y aurait-il pas une force de la paix pour faire comprendre à ces civiles et soldats que le but de tout groupe, toute tribu, tous pays et nation se doivent de vivre dans la paix, unis comme un seul groupe, une seule tribu, un seul pays et seule nation.

Accepter comme devise ; il est différent de moi, je le suis de lui, accepte-moi comme je t’accepte.

Mais qu’en ce quatorze juillet de l’an de grâce d’un nouveau impérial arrivé, permettez-nous de rêver d’un défilé de famille, femmes, maris, enfants, oncles, nièces et tantes, animaux de compagnies de toutes nations et pays, lançant à la volée ripailles et gourmandises pour qu’il n’y ait plus d’affamés, et que tous fassent bombance de nourriture variée et colorées de l’essence et de l’esprit des cultures de toutes régions et pays dans un plaisir sans faim.

Ce serait vraiment bien ainsi…

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