Du moment que l’on dit

Moi je veux bien que les journalistes aient besoin de grain à moudre pour se faire voir et bien communiquer.

Mais de là à prétendre cultiver ledit grain est vraiment prétentieux pour ces grands parisiens.

Il n’y pas, à ce moment préélectoral, de bon ton de ressortir le vieux loup du bois, qu’une autre à désigné en guignol de la République, afin leur création choisie puisse prendre forme, puisse prendre vie, puisse prendre envie.

Jusqu’à ce qu’un patron en média clame qu’il ne est fini et qu’il est temps de passer à autre chose pour relever les audiences.

Il est beau ce thème : « l’on préfère la fin du mois à la fin du monde ».

C’est presque une philosophie de boulevard mais c’est a priori ce qui préoccupe le plus les français moyens et bas d’échelle à l’aurore du pire qui pourrait bien nous arriver.

Il y a un mot pour cela.

Mais comme il est, comme toute mode sauf le monde de la mode qui est bien de France, anglo-saxon, je vous en éviterais l’importation au travers de ces lignes.

Mais vous le reconnaîtrais assez vite.

D’une pub qui dit « faites avancer votre entreprise avec les handicapées ».

sincèrement, je préfère cette autre qui fait savoir en bonne nouvelle « regardez la personne et non son handicap ».

A moins qu’il y ait urgence.

Mais c’est vrai de toutes les minorités.

Difficile dans ces conditions de faire sans prendre décision qui pourrait être défavorable pour les non choisis.

Voilà que nos médecins, en recherche certainement de trouver, veulent profiter du fléau de la pandémie Covid 19 pour nous imposer par la peur, l’habitude des fameux gestes dits barrière.

Et ce, non pas trop pour le moment contre le virus, la vaccination emportant avec elle le risque de saturation des hôpitaux, sauf les réticents qui racontent une autre histoire.

Mais bien pour éviter les autres maladies à microbe se répandant par les gestes amicaux que chacun à avec l’autre dans une société qui aime le bien vivre.

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