Si diviseur, il y a …

Avant, la chanson était : vous les méchants avec vos candidats sortis du tiroir du néant, vous allez casser notre beau joujou.

Maintenant, puisque ledit beau a été pris par cette ouverture commode, les mêmes chanteurs, croix de bois, croix de fer, je ne meurs que si je vais en enfer, s’enflamment en martelant qu’ils vont encenser Roland.

Ce dernier, d’ailleurs, cause bien du souci au premier élu qui se trouvait très adroit alors, juste à se trouver gauche pour une petite peccadille de prés 4 fois le revenu médian.

Mais, il est vrai qu’il avait déjà déborder sur cette rive droitière son ex gouvernemental, allait-il laisser dériver celle qui n’est toujours pas son ex marital ?

Bien sûr que non ; tenez regardez son rival qui bien qu’à un grade inférieur dans un gouvernement précédent a osé agir de la sorte, mais, il est vrai que comme il est beaucoup plus jeune, la balance se déséquilibre en sa faveur, ce n’est que justice.

Attendez, regardez encore plus sur votre droite, attention au torticolis si vous venez de trop loin, et vous constaterez, là aussi, une réussite basée sur dame trahison et pas seulement que familiale.

Pour couronner le tout, et bien terminer ma chanson, je regarde au-delà d’une gauche mal en point pour constater qu’un petit gars qui ne signifie pas le renouveau a, néanmoins, décidé de poursuivre son aventure alors que ses copains de banlieue l’on laissaient tomber lui qui rêvait debout d’évolution humaine possible.

Attention cependant, du milieu bas français pourrait ressurgir un petit gars à claque qui n’en finit pas d’en rendre tellement que son parcours lui a appris les longues chevauchées chevaleresques n’en finissant pas de lui faire croire qui existe encore malgré ses abandons, renoncements successifs.

Toutefois, ce modèle de rupture n’existe-t-il pas ailleurs, Outre Atlantique, où la barbarie se dispute à l’imbécilité ?