Deux affaires significatives
En fait, lorsque l’on veut bien écouter et entendre l’actuel type de l’intérieur dans ce qu’il a de plus profond, l’on croît s’apercevoir de quelque chose. D’après ses propos il semblerait qu’il voudrait que les immigrés choisis – par qui ?
Par lui ? – soient encore plus français que les français actuels qui ne doivent surtout pas ressembler à de jeunes et vieux bons gaulois réfractaires.
Autrement dit, il semble vouloir mettre en avant un projet de refonte de la population française dont la moralité soit proche du souverain qu’il espère être. Ainsi, la boucle serait bouclée d’avoir un bon peuple qui pense comme ses chefs.
Ce qui dispenserait de toutes lois, d’organisation électorale puisque tout le monde serait d’accord par avance avec celui qui règne.
Et, pour être sûr que le système tienne, à sa morte, sera nommé d’office l’heureux élu descendant de la ligne directe du défunt. Bon, d’accord, l’on a déjà connu ces âneries, mais l’histoire n’est-elle pas un éternel recommencement tant la mémoire souffre d’Alzheimer ?
Extraordinaire : un ancien président condamné pour ses actes doit porter un bracelet électronique au lieu d’aller tout droit à la case prison.
Et, il se trouve des sachant médiatiques pour trouver que ce bracelet déshonore la fonction de président. Vous avez bien entendu, ce ne sont pas les actes pour lesquels il a été reconnu responsable mais seulement le bout de méta à sa cheville pour vérifier que la peine soit bien tenue.
L’une de ces beaux personnages, tient à rappeler que sa condamnation est due à une écoute illégale entre un justiciable et un avocat.
Bien entendu, cette personne fait semblant de ne pas se rappeler que le téléphone utilisé spécialement pour sa tentative de corruption, n’était pas le téléphone usuel professionnel utilisé comme à l’habitude dans l’usage de ses affaires.
En fait, les deux cas présentés sont similaires : les politiques veulent être exonérés des conséquences des lois lorsque c’est à leur détriment.