Sans en avoir l’air, l’illuminé a donné sa nouvelle définition de l’homo sapiens riche à gogo.
C’est la personne qui touche plus de 2 000€ nets/mois.
Et, pour les retraités n’en parlons pas, lorsque l’on sait qu’ils gagnaient beaucoup plus lorsqu’ils étaient en activité.
Ils ont donc pu épargner à plus savoir quoi faire.
Mais on leur fera dépenser à coup d’inflation non compensée.
Et n’allez pas dire que : ce qui est dit est dit, il n’y a rien à (re)dire.
Passez votre chemin et portez votre croix.
Alors que certains êtres humains ont du mal à faire valoir leurs droits, l’on ne cesse d’en donner plus aux animaux, voire sauvages.
Il est certain qu’il est plus facile de parler aux nom des bêtes que des êtres humains.
C’est beau, c’est grand, cette vieille habitude de faire appel aux anciens pour revaloriser l’occasion.
Même qu’est-ce que l’occasion, si ce n’est faire durer le plus longtemps possible les objets du quotidien – rappelez-vous votre conjoint n’est pas objet.
Alors pourquoi tant de misère faite au possesseurs ce vieux véhicules ? Ne font-ils pas épargner des tonnes de Co2 supplémentaires en n’achetant pas de voitures neuves même électriques ? Qui a mesuré celui qui, dans ces conditions, consommait le plus en pollution actuelle – celle passée est dépassée depuis longtemps sans possibilité de retour.
Grâce à leur marronnier habituel, les journalistes peuvent ressortir le fameux débat de savoir si une grève de transports en commun est bienvenu ou non.
Qu’ils soient persuadés que les cheminots auraient préféré taper la belote autrement.
Un autre débat va peut-être faire rage.
L’état doit-il s’occuper ou non du pouvoir d’achat des français.
Les économistes de droite et plus encore sortent de leurs bois dans l’espoir de se faire connaître.
Mais, il faut bien reconnaître que lorsque les aides étatiques aux entreprises sont sorties du quoiqu’il en coûte, on ne les a pas vraiment entendu.
