Des informations

Qu’est-ce qui s’est vraiment passé au bourbon ? Prend un verre et écoute cette lecture.

Les journaux télévisés ont abreuvé le temps de cerveau libre de leurs auditeurs d’une aventure à faire reculer la République.

Les gilets jaunes avaient pris la liberté de prendre le palais décisionnaire des députés.

Ces derniers allaient se faire chambrer même s’ils ont la réputation d’être en meilleur santé que le gratin du Sénat.

Et pourtant que nenni, si l’on veut bien croire les témoignages en place dont un de deux individus bien de leur personne et instituteurs de leur état.

Tout d’abord, il faut se rappeler que l’itinéraire pris par les manifestants avait été élaboré avec l’accord du préfet qui a donné son aval pour passer par là.

Ensuite, le constat d’arrivée sur les lieux est un jeune gars la main en sang, on ne sait pas dans quel sac il l’avait mise.

Ensuite, de joyeux lurons des forces de l’ordre plein partout en bataille rangée, encerclant les gilets jaunes qui se sont trouvés oppressés de tant de sollicitations.

S’il y a eu bien quelques jets de bouteilles plastiques ou propos acerbes devant tant de haine sur un trajet négocié en amont, il n’y a jamais eu la violence annoncée.

Par contre, la charge policière a bien été réelle.

Telle celle sur un du cordon de surveillance des manifestants.

Tandis qu’il demandait à ses troupes de ne pas répondre aux provocations ressenties, il s’est fait chargé violemment dans le dos.

Et pan la matraque sur la tête et dans les reins.

Ne me demandez pas le sens de l’ordre des frappes.

Est-ce vraiment une bonne nouvelle que l’Oms reconnaisse enfin les bienfaits d’une certaine plante verte que les labos pharmaceutiques exècrent tant qu’ils n’ont pas la main verte dessus ? Car quand la France, va-t-elle admettre le bien fondé d’une légalisation sous contrôle médical bien ordonné et seulement influencé par le bien être prouvé exercé par cette pharmacopée depuis des siècles et des siècles, amène-toi vite…

Quitter la version mobile