Dans cet ouvrage, l’auteur ne propose pas de faire la révolution, mais simplement d’inverser certains de nos comportements.
De la révolution à l’inversion, en un peu moins de 250 pages, et 5 grands chapitres, avance pas à pas démontrent en s’appuyant toujours sur de nombreux auteurs classiques et contemporains.
Marc Albert Chaigneau a avocat d’affaires, conseil d’entreprise, responsable juridique, mais comme il le dit, « N’étant pas membre du gouvernement, je ne suis pas habilité à proposer un projet, n’étant pas parlementaire, je ne peux pas non plus faire de propositions. Pourtant les deux sont contenus dans cet ouvrage. »
Il n’oublie de se penser sur l’administration sur ses lourdeurs. À ce sujet, il cite l’exemple d’une de ses amis ayant perdu une jambe et demandant un badge handicapé pour pouvoir se garder sur les places réserver. Quelqu’un venant au guichet ayant une jambe en moins, est un handicap visible et non contestable. Et bien, non, : procédure administrative, visite chez le
Je ne veux pas déflorer le sujet, que chacun se fasse une idée en lisant ce livre. Certaines idées et propositions touches de points sensibles et pousse à réfléchir, d’autre font – à mon sens – sourire, d’autre sont trop complexes à mettre en œuvre et bouleverserait ; nos modes vie (je ne suis pas certains soient prête à cela).
En fin de compte, dans cet ouvrage, Marc Albert Chaigneau a compilé tout ce que nous savons déjà, tout ce qui nous fit râler. Mais, l’intérêt de « De la révolution à l’inversion » est juste que tout soit réuni, classé, document.
C’est un ouvrage à lire de manière linéaire, ou bien au gré des idées qu’il contient. Chaque chapitre pouvant être lu de manière indépendante.