De l’eau dans le gaz

Déjà, comprendre un Pape, c’était pas vraiment si simple tant les allers-retours du dire ressemblaient souvent à du n’importe quoi d’une sortie en boomerang pour faire dire qu’il ne l’a pas dit.

Mais, tous les chemins menant à Rome, en passant par le point zéro de Notre-Dame, l’ancien pape à vie qui n’est pas encore était resté souverain dans, croyait-on les oubliettes du souvenir en tenue blanche et appartements réservés.

Tout souverain encore en vie, a droit à des avantages que peuvent lui envier certains gilets jaunes s’ils ne sont pas de cette secte religieuse.

Et maintenant que l’on sait urbi et orbi que l’on a sur terre deux papes, l’on aura compris deux visions d’un dieu qui se voulait un.

Cela permet bien, au demeurant, de constater toute son humanité à ce personnage aussi biblique que poétique de son état.

Mais, ce qui peut-être surprenant, c’est de savoir que l’ancien était nouveau dans ses thèses et que l’actuel, plus présent dans nos saints esprits, plus conservateur tu meurs.

Pour le dernier, désormais actuel premier, les soucis de pédophilie et d’attaques organisées relèveraient simplement de la honte de la libération sexuelle que son ancien premier n’a pas su endigué, du moins de son exercice vivant à lui.

Car, bien entendu, rien ne s’était vraiment passé précédemment avant lui style les Borgia n’existent pas car seule la belle inquisition veillait à son troupeau de bergers de moutons assoiffés du sang de l’agneau pascal.

Pour le moment tout le monde semble être marron.

Mais, grâce aux jeux subtiles des milliardaires avec la complicité bien comprise des gouvernants qu’ils hébergent par la suite en pantouflage, les jeunes d’aujourd’hui et de demain vont faire comprendre à leurs parents chéris comment mettre la main à leur tiroir caisse rempli d’orties urticantes, pour voir leurs émissions télévisées préférées depuis une privatisation rampante des chaînes gratuites d’une tnt explosive.

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