Cet ouvrage propose 320 recettes en un peu plus de 350 pages.
Avec La cuisine Juive Tunisienne on est loin des livres où chaque recette est illustrée de nombreuses photos. Ici, aucune photo, aucune illustration, mais chaque recette est clairement détaillée, accompagné de la liste de l’ensemble des ingrédients.
Si on cuisine un plat que l’on ne connaît, que l’on a jamais vu, impossible de savoir si le résultat que l’on obtient ressemble à l’original. Mais, ce qui est important est que ça soit bon.
Ma grand-Mère maternelle était une juive tunisienne, nombre de ces recettes m’ont rappelé des souvenirs de mon enfance.
– La kémia et autres salades (ce sont les entrées)
– Les conserves
– Les soupes
– Les bricks, pains, pâtes, riz
– Les œufs, farces et farcis
– Les poissons
– Le couscous
– La viande
– Les accompagnements
– Les desserts
– Les boissons
Je crois que cet ouvrage « La cuisine juive tunisienne » intéressera tous ceux qui apprécient la cuisine d’Afrique du Nord, en général. Bien entendu, il y a des plats qui sont typiquement tunisiens ou algériens ou marocains (bien que la cuisine marocaine soit le plus différent des 2 autres pays).
Il y a des recettes que je situai en Algérie, comme le Makroud, je ne savais pas que c’était également Tunisien.
Les recettes, même sans illustrations, sont simples à préparer, la plupart prennent moins d’une heure. Les ingrédients sont simples à réunir, ils sont d’usage courant, même les épices sont celles que nous avons dans nos cuisines (sauf exception comme le carvi).
J’en ai testé quelques-unes (le cuistot à la maison, c’est moi), le résultat est concluant, mais on n’est pas obligé de suivre à la lettre, on peut improviser (c’est une cuisine familiale qui était adaptée en fonction des ingrédients disponibles au moment de la préparation du repas).
La cuisine juive tunisienne permet de préparer des entrées, des plats et même des desserts à apprécier en famille ou pour des amis avec des goûts, des textures différentes mais qui raviront les palais les plus fins.