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Choquer l’autre n’est pas de genre

Les féminicides sont de plus en plus déclarés au grand jour, action importante.

Pour éviter le pire, lorsqu’il est encore temps, aux victimes l’on fait tout pour écarter l’auteur des méfaits.

Avec parfois, il est vrai des trous dans la raquette comme ils disent.

Mais ce n’est pas un jeu.

Tout d’abord, il est bizarre de rester au féminin tant il y a des hommes pouvant être atteints soit par les paroles, comportements de la conjointe dont on sait désormais l’importance de certaines attitudes, certains mots.

Mais aussi des hommes en couple avec un autre leur faisant subir comme des couples hétérosexuels les mêmes sévices.

L’homosexualité ne doit pas cacher les horreurs souvent ouvertes un fois la porte du domicile close.

Il semble que l’accueil des femmes victimes soit mieux pris en charge.

Que les forces de l’ordre fasse de même pour les hommes au lieu de prétendre qu’il s’agit là de jeux un peu sado.

On ne peut empêcher l’imaginaire d’en face.

Mais on peut, à force de formation (re)éducative apprendre aux accueillants une neutralité bienveillante.

C’est sans doute ainsi que des drames pourraient être évités si la première plainte ou main courante était prise au sérieux.

Mais, une autre action devrait être tentée en amont.

C’est la compréhension des phénomènes qui conduisent certains, certaines donc, d’avoir un comportement que l’être humain ne doit plus supporter.

Autant d’actions réelles sur le terrain à l’image de la couverture médiatique ferait certainement l’affaire.

Encore faut-il que ce dur et long combat ne réponde pas à une logique d’effet de mode journalistique et/ou politique.

Il semble prouvé que la période Covid19 passée est agit en parallèle très fortement sur le comportement de conjoint trop fragile ayant du mal, ou ne pouvant pas, tenir ce climat de trop d’incertitudes renforcé par la peur du lendemain et sans doute le mauvais réchauffement planétaire.

Mais, créer des centres d’expression collective ou individuel à l’instar des centres vaccinaux serait peut-être une bonne solution..

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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