C’était comment ?

L’informatique revient toujours avec ses logiciels pleins de ressources insoupçonnées.

Tenez prenez les lettres, d’un enregistrement de fichier, qu’il fallait obligatoirement réunir à moins que rien pour ne pas bouffer la mémoire ni ralentir le processus d’ouverture/fermeture.

Mais, c’était hier, autant dire il y a un temps que les moins de quarante ne peuvent pas connaître, mais ceux qui avaient 20/25, si.

Car aujourd’hui, plus d’ennui vous pouvez mettre tout ce que vous voulez en lettre ou chiffre mais pas les autres caractères.

Encore un effort, cela peut venir.

En attendant, (re)nouveauté, s’il vous venez à l’idée dans glisser quelques uns histoire de faire genre, vous serez informer que ce n’est pas possible.

Mais, vous n’avez plus besoin de les retirer car la machine intelligente le fera spontanément pour vous.

A ce rythme que va-t-il nous rester ??? La polémique revient de savoir si la gratuité des masques obligatoires dans les entreprises.

C’est ignorer gravement, mais avec la droite et ses patrons, administration en tête, un article du Code du Travail qui dit que le patron doit fournir l’utile, le nécessaire, voire le futile, à ses salariés pour qu’ils puissent travailler sereinement.

Et, juré, promis, craché, cet article, qui est l’alinéa d’un principal, n’a jamais été abrogé.

Sans doute une erreur de mauvaise appréciation qui sera rattrapée en sourdine d’une réforme « le mieux faire en entreprise productive ».

C’était nettement bien mieux avant.

Nous pouvions vivre sans capote, boire tout notre saoul, remplacer l’autre par l’un(e) sans grand retour de bâton, manifester sans trop de violences.

Bon d’accord, c’est vite oublier les guerres passées, la famine d’avant où chercher son pain n’était pas vain, les hordes de brigands à nos portes et les épidémies bien plus dévastatrices.

Ce qui ne change pas c’est notre faculté d’oublier comment c’était vraiment avant au-delà de la frontière de nos rêves…

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