Il faut bien l’avouer, pour les non initiés, l’épisode zéro l’était vraiment et ne laissait pas présager qu’il serait l’introduction en préambule de l’épisode 1.
Vous avez aimé (re)voir un ancien grand politique se démener en toute bonne foi pour se dépêtrer de la glue où des vilains d’un canard l’avait fait un temps tomber.
Alors peut-être allez-vous adorez savourez le dessert de l’épisode 2.
Le script, non encore tout à fait écrit, ferait mention d’un retour en grâce de sa majesté puisque, comme le dit sa porte-parole, qui ne peut pas en dire autre chose : « il n’y a eu aucun manquement à des règles établies », alors tout est permis.
Pour rappel, la règle morale ne s’applique pas du tout à ces gens la.
Et, n’y voyez aucun regard malicieux si l’impétrant a été vu avec son ancien commandant attablé à une table d’un bon restaurant.
L’on ne sait pas s’il s’agit d’un repas d’affaires, qui a payé rubis sur l’ongle, ni le pourquoi de cette rencontre non médiatisée.
Sur que la suite a venir de cet été chaud va nous l’apprendre bien tôt.
Pendant ce temps là, l’on apprend que l’illuminé est parti en vacances dans son paradis où hier il avait fait construire une belle piscine et il adore y patauger pour son seul plaisir ; il n’aurait plus besoin de bouée jaune.
Les résultats annuels du grande low-cost s’envolent vers le bas ce qui semble être mauvais signe pour un avion qui a des envies d’ailleurs.
En fait, cette compagnie a comme nécessité de voir disparaître ses coûts comme toute bonne entreprise à l’heure actuelle.
L’idéal serait de voir disparaître les pilotes et autres salariés où la belle a du faire des efforts pour être désirée.
Si cela éclaircirait l’horizon, l’avionneur serait marron d’être obligé de rester au sol du tarmac.
