Aussi, quand des gars casqués armés s’en prend à un pauvre type errant dans une grande rue hors des manifs ; s’ils font partie des forces de l’ordre, c’est normal, c’est légal.
La violence étatique est considérée loi.
Lorsque de bons camarades viennent faire pression à 200 devant le tribunal où passe, sans doute par inadvertance à l’insu de leurs pleins gré, c’est sans doute aussi normal.
Surtout, ne pas dire que quelque chose cloche.
Surtout ne pas dire que depuis que leur chef leur a donné le feu vert, ils n’ont rien révisé, ils lancent leur haine sur le quidam sous prétexte qu’ils ne se sentent pas aimés.
Deux jeunes femmes sont sur le coup de la justice pour usage d’un métier esthétique qu’elles n’avaient pas le droit d’exercer.
Elles seront jugées pour escroqueries.
Elles sont donc dénommées escrocs comme de vulgaires garçons.
Alors, pourquoi ce silence assourdissant des féministes au lieu de réclamer à corps et à cris un nouveau nom féminin pour décrire cette infamie ?
Évidemment, nous sommes en pleines vacances scolaires… Le gouvernement de droite sous la gouverne d’une qui a bien fait voir son coup droit en plein plexus démocratique se targue d’avoir fait voter une loi pour réduire les délais administratifs concernant les demandes d’entreprises se mettant au vert.
Cela voudrait-il que jusqu’à maintenant, l’administration était de mauvaise foi dans son travail d’autorisation ? Une de ces nouvelles ministres remplace une qui avait le soutien de diverses associations pour rester en place.
Mais comme chacun sait que le réélu déteste la représentation sociale pour de justes causes, il en a été décidé autrement.
Ce n’est pas simple de garder la voie royale du pouvoir.
Enfin, il n’est pas nécessaire de changer en profondeur une équipe qui accepte de marcher sur la Démocratie.
Attention à l’original…
