Le gars actuellement champion du dernier kilomètre couru fait fort dans son dernier slogan.
Il dit que son système de circulation pour joindre les deux bouts, s’insère parfaitement dans le monde urbain d’aujourd’hui.
Bon, on peut le croire si l’on accepte de fermer les yeux lorsqu’il nous croise sur les trottoirs où ses sbires sévissent.
Ma de là à dire, que ledit est également pour l’avenir est certainement pousser le tour de roues un peu loin, non ? Le parrainage n’est pas un soutien.
C’est ne pas faire la preuve d’un accord sur les idées politiques du parrainé.
Mais, alors, à quoi servent lesdits parrainages ?
A permettre seulement à des prétendants de poursuivre leurs chimères ?
A plier le genou devant des sondages se contredisant qui ne sont qu’une intention à un moment T ?
Comment un élu pourrait-il donner son feu vert à une personne aux antipodes de ses propres convictions ?
Est-ce à lui de se porter garant pour une candidature dont il ne connaît rien sur la personne.
Il ne connaît rien puisqu’elle celle-ci s’est bien gardée de le contacter auparavant ne serait-ce que pour lui donner le bonjour.
Seront nous prêts à temps pour faire face au grand défi de notre siècle ? L’on pourrait en douter de voir ces ministres de l’intérieur européen aller et venir d’un point à l’autre.
Ils ont utilisé des engins électriques.
C’est bien, très bien même.
Mais, pour la recharge, ils se sont servis de bornes fonctionnant au gasoil.
Quel drôle d’idée.
Les organisateurs de ces réunions ont été dépassés par les événements.
Ils ne se sont pas rendus compte que dans la zone où ils se trouvaient, il existait plus de 200 bornes disponibles.
Mieux, à regarder de plus près les déplacements nécessaires à ces chose sérieuses, l’on se demande encore pourquoi, la nécessité de (re)charger a fait loi : 200 km au grand maximum.
