Cacophonie

Cette élection présidentielle d’Outre Atlantique est originale pour plusieurs raisons. Jamais, les américains n’avaient voté autant en si grand nombre.

Ce qui permet à chacun des pays antagonistes de dire pour l’un qu’il a gagné des voix par rapport à son score précédent qui la fait élire.

A l’autre, s’il passe victorieux, qu’un président des états unis d’Amérique n’a jamais été élu avec autant de voix.

La contre-partie, c’est que l’actuel utilise tous les recours à malice pour contester après avoir fait recompter les votes par correspondance favorable à son ennemi.

Ce qui fait que jamais les américains ne devront attendre aussi longtemps pour connaître le champion qui sortira de cette arène boueuse le jour de la nouvelle signature de serment prévue le 20 janvier 2021.

visiblement les européens de sens critique démocratique ont choisi leur candidat comme s’ils pouvaient influencer les votes de chacun.

Mais, il y a fort à parier que pour cette Europe, cette élection soit finalement plutôt pestilentielle que l’annonce d’une nouvelle patrie plus protectrice des intérêts des autres pays.

Une leçon pour touts ; les villes votent en masse pour peut-être le futur, les campagnes de leurs champs pour l’actuel.

 C’est-à-dire les soi-disants populistes contre ceux qui seraient C++.

La France d’en haut contre la France du bas, hum.

Concernant la France, elle risque d’être grande perdante dans ce bras de fer continuel entre le gant de velours et la paille de fer.

Seule la main diffère, si les annonces de ce matin se confirment, dans cette paille abrasive.

Un courriel croyant m’annoncer une bonne nouvelle me dit avoir une bonne surprise pour mon chien.

Je donne donc à lire à mon animal domestique qui n’en a cure.

D’abord, comment savent-ils que j’ai ? De toutes façons, ils se trompent lourdement, c’est une chienne que j’ai et encore en partie puisque je suis en couple.

Ceci explique sans doute l’attitude noble de cet animal.

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