A remarquer cependant, l’abstention du pays voisin de nos hauts de France qui réclame à corps et à cris une dispense..
toutefois la guerre, elle, n’est pas terminée tant il reste à faire de convaincre les agriculteurs de procéder autrement pour permettre la survie des espèces.
Encore faudrait-il, certainement, s’inquiéter de leur proposer une alternative viable tant il y a peu de chance que ce soit par j’m’en foutisme des autres qu’ils continuent à faire ce qu’ils font.
Il ne faudrait pas, même et surtout pour une bonne cause, libérer une partie et emprisonner l’autre en le condamnant à vie de faire autre chose.
D’autant qu’il n’est pas sur que l’on puisse vivre seulement d’amour de ces petites bêtes et de leur miel gelée royale comprise.
Un enfant est mort d’avoir été en état végétatif, ses parents voulaient qu’il reste, cela n’a pas été possible.
Un autre l’est tout autant d’avoir avec son père et sa sœur fait un grand trou dans le sable, être tombé dedans sans avoir pu en sortir et malgré l’aide de creusement de ses proches , ce n’était pas possible.
Sans transition, si ce n’est des conditions de vie que l’on ne voudraient plus avoir à voir, des salariés chez le premier livreur de produits par correspondance sont à la peine d’y travailler.
Ils ne peuvent se révolter devant un management forcené.
Le chsct a demandé une expertise.
Le rapport qui en découle est plus qu’alarmant.
Notre illuminé devant cela dira que ce n’est pas possible de continuer ainsi et proclamera la mort des chsct avec les acclamations délirantes du patronat reconnaissant…
