L’homme ne jubile pas. Il est en prison depuis des mois sans preuve aucune.
Une marche blanche en l’honneur de cella qui disait couloir voir ailleurs s’en est allée sans laisser de trace.
Tous les regards convergent sur lui.
Ses voisins de cellule disent qu’il a dit savoir où il aurait mis le corps de celle qui serait alors définitivement défunte.
Mais, ce n’est pas assez.
Il faut d’autres preuves.
Mais l’homme est toujours sous cloche.
S’il devait être innocent, qu’en penseront ses deux enfants qui ne savent pas où ranger leur tête ? Je ne veux de mal à personne.
Mais celle qui a écrit cela dans une page de nouvelle, manque cruellement de sa propre relecture « est en restée s’est cantonnée aux réseaux sociaux » Sans aucun rajout, ni plus ou moins, car c’est largement suffisamment parlant ainsi.
Le chef de la Santé gouvernementale nous invite à un jeu masqué.
Non ne rêvez pas, il ne s’agit pas de bal puisque les discothèques sont fermées.
Il s’agit tout simplement de la nouvelle ruse de moins en moins déguisée de rendre le vaccin obligatoire.
En effet, pour faire un pas de deux, les citoyens sont égaux devant tous.
Mais pour aller manger, vous aurez absence de goût si vous n’êtes pas vacciné à un niveau suffisant.
Il se pourrait même que vos enfants vous suivent.
Les travailleurs, eux, continueront à travailler puisque leurs patrons ne sauraient s’en passer.
Ceci, même si un célèbre avait tant vanté l’entreprise modèle avec zéro salarié.
Mais, pour aller sûrement au turbin, le travailleur zélé mais aimant son indépendance dans son privé, devra présenter un pass qui restera alors sanitaire.
Pas de vaccin, le test sera à refaire jour par jour avec les frais que cela supposent.
Et, ce travailleur connaîtra la vraie valeur de la signification du trop fameux « métro-boulot-dodo » qui peut se marier avec Ter.
