Bons vœux

Je ne sais si vous y pensez, mais, moi j’ai l’occasion de fêter les bons vœux à qui le veut via mes courriels, mes sites, ma page Facebook et, parfois, certains écrits.

Le tout à l’aide d’une de mes photographies, prise généralement au cours de l’année qui se termine, sur laquelle j’inscrit deux ou trois mots.

En conséquence, je peux légitimement penser que plusieurs centaines de personnes, uniques dans le terme statistique, voir millier (?), sont passés par là et ont vu mon intention.

Or, c’est toujours désagréablement que je constate le peu de retour à cette sympathie même si elle répond avant tout à une coutume dont je ne sais trop l’origine.

Oh, bien sûr, les quelques-unes et quelques-uns qui y répondent me sont d’autant plus cher(e)s qu’obligé(e)s elles (ils) n’étaient pas.

Mais, bon sang de bois, pourquoi ce silence indifférent de la part des autres ?

Bien sûr, mon rédacteur en chef, et néanmoins ami, du moins je le crois, ne cesse de me répéter que ce qui compte, ce qui marque, c’est la progression d’une courbe toujours ascendante ; ce qui, ici, est nettement préférable en position tendancielle que celle d’un chômage massif.

Mais, il s’agit d’une autre histoire qui ne doit pas noircir les valeurs festives de cette fin d’année qui risque fort de se taper sur un mur, mais chut, nul ne saurait le prédire.

Alors, je me demande si vous aussi, lorsque vous vous laissez à la tentation de l’envoi d’une bonne carte de vœux par voie postale peut-être mais bien plus surement désormais voie numérique, avez-vous le sentiment d’un retour négligeable ???

Ou bien avez-vous trouvé votre graal ou sa formule magique pour correspondre à ce qui est sans doute une espérance sans lendemain.

Si cela est, merci de m’en transmettre la formule afin de paraître à tous un individu connu et reconnu…

Bons vœux malgré tout !!!

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