Qu’ils soient d’un simple plaisir de satisfaction de posséder, familiale pour que tout la fratrie puisse trouver place ou simplement utile pour aller et venir comme vous êtes obligé de le faire quotidiennement.
Vous aurez noté que désormais, plus aucun véhicule ne nous fait vraiment parler mécanique.
Mais le garagiste se penche plutôt vers sa petite mallette à diagnostics.
Et, il est vrai, que votre nouvelle propriété, même si vous l’avez en location (!), est bourrée de puces qui pourraient bien vous gratter gravement si vous n’y prenez garde.
Qui dit numérique en surnombre dit fée électrique.
Et, c’est ainsi que la ou les batteries prennent le pas sur le ou les moteurs embarqués.
Qu’elle soit totalement électrique, 100 % donc, hybride totale ou légère ou même encore d’essence fossile, celle qui règne en maîtresse, c’est la batterie, rien que la batterie.
Et, d’ailleurs, celle-ci ne se trouve plus nécessairement sagement remisée sous le capot avant.
Pour les électriques ou les rechargeables, votre vendeur professionnel vous a bien alerté sur la nécessité virale de veiller à sa charge.
Sinon, en cas de presque 0 %, vous serez royalement planté et sans espoir de la pousser pour la faire redémarrer.
Pas de chemin, pas de route, pas d’autoroute sans savoir au préalable où se trouve la borne providentielle pour recharger sa batterie.
Et, étant donné le temps de recharge, mieux vaut prévoir une station avec couvert voire logis si vraiment vous êtes à plat.
Mais, je vois les encore férus de mécanique à essence, voire diesel sourire de ces tracas.
Pourtant, insidieusement, dame fée ne vous épargne pas.
Tout ce qui était considéré gadgets avant deviennent essentiel.
Et la belle mécanique ne peut rouler qu’avec sa batterie pleine.
Veillez à la sécuriser au moins tous les trois mois surtout en ville.