Beaux quartiers de l’autre côté

Si vous marchez dans un 7ème de quartier du beau Paris de votre capitale, vous aurez peut-être la possibilité de vous rendre, entre deux manifestations de gilets jaunes et foulards rouges, à l’exposition du roux d’un hôtel particulier.

Ou plutôt la couleur rousse qui est à l’honneur et justifie l’accroche d’œuvre du genre.

Toutefois, ne cherchez pas bagarre il n’y pas de paquet de la célèbre chicorée ni le portrait craché d’un ancien de 68.

Après avoir bu un bon café auprès de ma grand-mère qui sait le faire, je remarque une nouvelle sortie de l’ami boxeur du havre de paix qui n’en rate pas une.

Il avait déclaré, en sa décision gouvernementale, qu’il voudrait quelques 120 000 postes de la fonction publiques volatilisée dans la nature profonde de pôle emploi.

Mais après en avoir débattu âprement dans les débats en cours, avant c’était uniquement une diatribe unilatérale, vous avez compris le sens de ma discussion, il ne s’agit plus pour lui que d’une cible qui n’est plus un totem.

C’est juste pour se demander si l’administration peut fonctionner avec moins.

C’est sur que les profs de toutes catégories confondues, les infirmières, les urgentistes, les contrôleurs inspecteurs du travail, les forces de l’ordre de proximité et tout le reste seront d’accord avec de telles douces paroles qui réchauffent le cœur.

Lorsque le chroniqueur d’extrême droite extrême, qui fait pour rire la joute avec un qui se fait passer de gauche pour le pognon télévisé, est accueilli comme un messie par la clique, et prend tes claques, de la droite extrême, dont s’est échappé le droit dans ses bottes réfugié dans ses châteaux avinés, l’on ne peut pas s’étonner de la sortie de la loi anticasseurs par les députés de la majorité qui auraient mieux fait de s’arrêter en chemin pour aller voir ce qui se passe sur le trottoir d’en face des libertés  réduites à pas grand-chose.

Dans la réalité que ce soit l’extrême de la droite, le milieu de celle-ci et la droite d’une gauche agonisante, la seule réalité est la réduction des droits de l’homme pour préserver le petit bourgeois très riche.

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