Et les deux principales, gauche droite réunies, s’entendent pour dénoncer de la dépense publique pour achat de voix aux prochaines élections.
C’est de bonne guerre puisque si l’une d’elles avait été en place, elle aurait fait pareil et celui en place dans l’opposition se serait opposé.
Car voyez-vous, jamais, au grand jamais, il n’est venu à l’idée de ces braves gens de se réunir autour d’une bonne table, avec verre d’eau limpide.
Et d’en sortir une fois le consensus établi pour vraiment tenter en finir une bonne fois pour toute (il faut être optimiste) avec cette plaie qu’est le chômage d’une certaine jeunesse à la dérive.
Mais, il faut bien le dire, non seulement les prétentions ont été largement (re)vues à la baisse.
Mais encore, elle remplace un dispositif déjà en place.
L’on ne sait pas, à ce jour, si les actions de certaines régions viendront en complément.
Mais, l’on peut déjà se dire que, non décidément rien ne change, puisque le premier du gouvernement a bien parlé de « refonte de ce qui existe déjà ».
La droite égale à elle-même crie haro sur les 500€ par jeune de 16 à 26 ans omettant de souligner qu’il s’agit d’un maximum.
Essayez donc de vivre avec ce capital mensuel et peut-être que vous comprendrez.
S’il s’agit d’un assistanat, cela veut dire que ces jeunes, hormis, une poignée pour faire bien, resteront à suffoquer.
En effet l’aide, entre autre, est soumise à la non aide parentale.
Dans la capitale des Gaules, c’est plutôt un essai de Rsa jeune distribué sans conditions histoire d’être plus digne.
Par ailleurs, ce qui est vraiment intéressant est l’accompagnement.
Mais dans ce « contrat engagement jeune », seul Pôle Emploi servira de guide alors qu’il ne peut rien pour les déjà inscrits chez lui.
Bonjour l’ambiance.