Avez-vous vu ?

C’est quoi cette histoire d’un qui disparaît et que l’on dit de lui « C’est toujours les meilleurs qui partent ».

Veut-on se préserver du mauvais sort en pensant à soi lorsque l’inévitable arrivera ? Ou alors pensons-nous que si nous ne le faisons pas savoir nul ne le saura ?

Un autre au départ de sa femme s’entendait dire  « c’est votre moitié qui s’en allée » et lui de répondre pensivement «  plutôt mes trois quarts » ou en variante pensée «  mes deux tiers » pour se rappeler les impôts à payer.

Encore une scène de celui qui sait s’y mettre et pense qu’en tant que leader d’une gauche déboussolée il peut considérer les déclarations des journalistes à son envie selon ses besoins d’occase à la petite semaine.

Il avait, dans un temps jadis, légitimé la révélation de la liaison d’un ancien président à l’eau de rose voguant allègrement sur son deux roues vers sa belle en attente de ce qu’elle ne voulait pas d’une seule passade.

Mais comme lui, il n’est pas, président de la République, dont il semble vouloir s’écarter de plus en plus  rappelant ainsi le destin de la gauche non gouvernementale, il estime que sa vie privée est sa privée et qu’elle n’a rien à voir avec sa vie publique même si sa belle à lui a dans sa vie publique fait connaître un certain talent rendant suspect certaines factures adressées à son président d’amant.

Certes, il ne nous faudrait pas tout mélanger en espérant qu’il a veillé de faire de même sous la chaleur d’une couette propice également à autre chose que des galipettes.

Mais, bon, comment avec tout ça faire confiance à qui que ce soit pour nous représenter surtout si vous avez regardé le documentaire de la chaîne parlementaire sur les liens voyous et politiques.

C’est clair que ce ne l’est pas.