Assaillis de partout

Certains n’ont plus que les yeux pour pleurer devant les intempéries les ayant assailli.

La canicule ne devrait pas en arranger d’autres.

Tels ces ouvriers pour lesquels ont leur a taillé dans leur temps de pause repas pour les laisser partir plus tôt.

Pas question pour le patron de perdre quoi que ce soit devant ce phénomène complètement imprévisible.

Pour le prévoir, il aurait fallu dépenser plus ce qui n’était pas bon pour leur moral.

Et voilà, c’est parti : l’Aisne, sous emprise de droite extrême, a décidé de faire travailler les titulaires du Rsa.

Et bien entendu, le travail, 35h/semaine, ne sera pas rémunéré plus ce qui permettra aux employeurs d’embaucher à moindre coût ; c’est un peu comme pour les heureux titulaires de nos si belles prisons.

Mais, bien entendu, si l’obligation est de se former correctement pour obtenir un boulot correct, il est fort à penser que beaucoup seront intéressés.

Mais est-ce vraiment la volonté de ces décideurs ? Et le plus intéressant dans tout cela, c’est que si ça marche, ça va être étendu comme une épidémie dans les autres régions.

Et pour sur, les chômeurs, autres fainéants et profiteurs du système même pas capable de se battre à 4 000 000 pour 350 000 vrais emplois… L’on croyait que l’idiotie d’avoir dit, que si a 50 ans on n’avait pas au poignet une marque de renom, l’on n’avait pas réussi sa vie, coincée dans les placards de l’oubli.

Et bien non, une sacré pub qui fait mal a rajeuni ce dicton d’un autre âge pour le compté d’une voiture.

Cette pub dit qu’à trente ans l’on a tout, surtout la fameuse voiture ce qui veut dire que si on l’a pas… Moi, je m’en retourne chez chère Yvonne pour y voir si à la maison, il reste du bon.