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Allez sans pudeur

Pliez bagages, les élections sont closes, les choses décidées.

Hier, le grand chef de guerre ne faisait pas son cinéma.

Il a exigé le retrait des entreprises de son pays ennemi devant le parlement républicain.

Il a été acclamé malgré une faible opposition que l’on entendait dans les champs s’épanouir les marguerites je t’aime, un peu, et plus si affinités jolies.

Les dites entreprises ont fait fissa de se concerter en état major.

Et la major de l’auto républicaine a déclaré suspendu ses activités dans ce territoire sentant désormais le pestiféré.

Mais, les choses ne sont pas aussi simple.

Un grand non, non pas pour son courage, mais pour son avantage de tout mettre en boîte, veut conserver sa place afin de fournir au petit peuple en déshérence le nécessaire pour faire taire les ventre affamés.

Une autre de rappeler, en société libre et affirmée d’être privée, qu’elle n’entendait pas s’asseoir sur plus de 23 milliards d’investissements.

Ses gentils actionnaires ne s’en relèveraient pas.

Ah ces foutus gaulois réfractaires qui même en dehors des frontières font valoir leur hymne au non patriote.

C’est à foutre la marseillaise en l’air.

D’un premier avis d’une voiture qui sortira à partir des feuilles tombés des arbres, le journaliste concerné espère que la belle donnera la conservation du plaisir de conduire vu la cohorte de systèmes pour arriver au but sans bobo.

Êtes-vous pour le plaisir au défaut de votre sécurité ou l’inverse ? Là se pose la question de privilégiés prêt à tout sauf à renoncer à leur confort.

« Mourir pour des idées, d’accord, mais de mort lente…».

J’aime toutes ces pubs qui disent n’importe quoi, tout et son contraire.

Tenez ces autos dont chaque réclame acclame les spécificités qu’elle est belle et bien meilleure.

Tellement chouette qu’il faut les préserver par un leasing limité à une moyenne de 10 000km/an.

La seule certitude est le prix fort lorsque l’on prend le temps de rajouter aux futures mensualités, le montant de la première qu’il faudra, au minimum reversée au panier lors du changement fatal.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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