Aller au marché, c’est super

D’un marché qui se veut ouvert toute l’année dans un bled sans touristes et sans boulangerie, l’on s’en dit que l’on peut en dire que du bien.

Aussi la marche vers les produits désirés se fait-elle sans douleur et rapidement surtout que la voiture est à portée de pieds.

Vu comme jamais vu, un étal où trois vieilles femmes vendaient le fruit d leur production.

Il y avait aussi des légumes frais sortis de leur jardin.

Déjà la méfiance aurait du se faire sentir car à partir d’un certain temps donné vieille n’est plus une comparaison à notre âge bien avancé.

Constaté la présence de trois catégories d’haricots aussi verts et fins l’un que l’autre étonne.

Aussi la question est posée : « qu’elle est, ou sont, la ou les différences » permettant de comprendre les écarts de prix.

C’est du pareil au même que répond la marchande rouée au touriste dont l’état se voit au bout de son nez comme celui qu’il a en pleine figure.

Pourtant de 4,50€ pour le moins cher à 6,50€ pour le plus élevé, l’haricot, cette année, est élevé même s’il est de culture.

Après l’on ira se plaindre que le chaland préfère aller au super-marché du coin, plus super que le marché de la place avec interdiction de stationner.

Pensez, la-bas ils sont à 2,5€ promis de région récoltés main.

Pas de doute, il faut y aller d’autant plus que c’est le seul endroit à la ronde où se trouve du pain cuit sur place ce qui ne gage en rien de sa qualité.

Mais, comprenez, un français sans pain c’est comme un normand sans camembert qui aurait perdu son cidre.

A vous faire tomber dans les pommes dont c’est le début de la récolte.

Mais, pour le moment, elles s’étalent peu sur les étals.

C’est un peu trop tôt pour les pommes du jardin correctement cueillies ! Et après cela, certains s’étonnent que d’autres puissent penser que grands de la distribution et petits éleveurs/cultivateurs sont mis dans le même panier lorsqu’il s’agit de vérifier qui est le dindon de la farce faite maison.

Quitter la version mobile