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Ah si j’étais

Je serais publicitaire, je me méfierais encore plus de ces journalistes-animateurs.

Ces sociétés à marketing de masse ont réussi à faire adopter leurs horaires pour mieux pouvoir toucher la cible qui n’est pas forcément que la ménagère de 35 à 50 ans, même si elle sert d’étalon pour prendre le gibier en gros.

Mais, s’arrêter là serait faire fausse route.

En effet, bien souvent, les animateurs-journalistes, très souvent interchangeables si leurs statuts ne les protégeaient pas, pour lancer les écrans de tunnel publicitaire disent « Pause publicitaire ».

Ce qui pourrait laisser entendre dire « profitez-en pour faire ce dont vous avez besoin de faire ».

Mais, certains pubeux ont trouvé la parade, surtout bien aidés par les forces infiltrés en présence en interne qui n’hésitent pas à couper n’importe quant et n’importe comment les images censées constituer en un tout cohérent films, théâtre, reportage ou autre séquence sportives.

Ils attendent avec ferveur et foi dans leurs exigences de maîtres payeurs, que quelqu’un se jette à l’eau pour faire de même lors des directs.

Ces hommes de marketing m’étonneront toujours au même titre que leurs équivalentes féminines.

Osez vendre un véhicule terrestre à moteur à plus de 100 000€ est déjà si osé que personne ne s’en prive.

Mais, en plus de prévoir des options extensives à 14€ laisse vraiment le quidam étranger à ce monde, tout à fait perplexe.

Heureusement que les concessionnaires n’en font pas l’impasse de petits cadeaux pouvant plaire.

C’est encore là la supériorité de la boutique physique à celle virtuelle où l’on subit la loi de n’importa quoi mesquin.

C’est infernal, ce vendeur de piquette via internet.

Il ne cesse de vous vanter ses remises à casser toutes les briques quelque soit leurs couleurs.

Et il vous faut faire vite cae c’est déjà fini depuis hier.

Et pour que vous puissiez bien comprendre, il vous le répète à l’infini courriel par courriel.

Mais, le plus marrant, c’est que malgré ces énormes fantastiques rabais, il reste plus cher que beaucoup plus silencieux.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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