Ad eternum
Lors des discussions à n’en plus finir sur l’éducation à l’école du respect de l’autre dans la vie de tous les jours, l’on en oublie qu’il faut agir et avoir les moyens pour faire.
Mais, aussi, faut-il écouter ce que les élèves ont à dire et pas seulement les filles. En effet, lors d’un reportage, un petit jeune, peut-être 13-14 ans au plus, ose dire « et les viols sur garçon ?? ». Il n’a reçu aucune réponse. A quant sera-t-il question du consentement masculin ?
Mais, il est vrai, et à juste titre souvent, le plus souvent, ce sont les filles qui se font agressées. Ce n’est pourtant pas une raison pour écarter l’autre.
J’adore mon magazine de défense du consommateur. Mais, parfois, j’ai le sentiment que le journaliste concerné s’embourgeoise un brin.
Ainsi, dans un article de comparaison de véhicules électriques, il trouve qu’est abordable un prix de 46 990€. Sont bien payés les gars concernés.
Mais, ils sont à bonne école puisque l’institution elle-même s’en mêle. Sure d’avoir raison et certaine de son pouvoir, elle lance un appel aux abonnés pour s’inscrire à son panel.
Et, curieusement, ces derniers n’ont que des obligations en forme de contrainte sans contre-partie si ce n’est de recevoir certaines études en exclusivité.
Serait-ce une nouvelle forme d’abonnement ?? Il y a une vérité sur les retraites, c’est que si l’on continue comme cela, les français vont dans le mur. Le premier souci est que les non cadres voient leur participation obligatoire (cotisation de retraite de base) seulement à un taux largement inférieur à celui qui rémunère le livret A.
Par ailleurs, si l’ensemble de la force de travail des français était équivalente à celle des voisins, l’enrichissement serait de 400 milliards d’euros par an.
Pourquoi est-ce que personne ne se saisit de cette partie d’étude réalisée par des économistes ?
Pour mémoire, la retraite de base des fonctionnaires est très négative et gangrène celle du privé. La retraite complémentaire est encore excédentaire, même si plusieurs gouvernement ne cesse de ponctionner la cagnotte constituée.