A malin, malin entier

Comme personne n’en parle, sauf en sous-marin du fond des abysses des abîmes terriens, je vais tenter de le faire à ma manière.

L’économie fait tache grasse sur le futur retour d’histoire de celui qui est encore élu de justesse au poste présidentiel.

Certes, le social va encore plus mal, mais, ce dernier d’en fout car ce n’est pas sur ce sujet que son avenir se portera.

Et, de toutes façons, il a toujours méprisé ceux qui à 50 ans étaient incapables de (sup)porter une grosse montrer d’une grande marque au poignet.

Non, ce qui compte dans son univers de riche, c’est le pouvoir et le pognon.

Pour l’instant, il n’a que les symptômes du premier et s’active pour la réalité de son deuxième désir le plus profond.

Aussi, lui était-il impossible de continuer à diriger le pays dans les conditions délétères de son économie directement liées à sa seule politique.

Ce d’autant plus que ses exécutants lui avaient fait dire qu’ils entendaient voler de leurs propres ailes en vue de sa place à prendre dans peu de temps.

Alors, il lui fallait une idée fissa car en plus il savait l’insolent rapport de la cour des comptes qui lui tomberait dessus et les foudres de la communauté européenne n’ayant rien à envier au réchauffement climatique.

Et, elle arriva grandiose à point nommé.

Puisque l’on pensait déjà à son départ, pourquoi ne pas tout jeter à bâbord et faire prendre en charge les ruines actuelles par d’autres soi-disant plus malins que lui.

Il décida donc d’un acte grandiose que seul le pouvoir présidentiel lui réservait : la dissolution.

Il savait déjà le pays en désarroi de majorité puisqu’il la subissait relativement encore.

Cela ne pouvait qu’empirer.

En conséquence, c’était plié d’avance.

Mais, il n’avait point perçu que ses vrais ennemis allaient s’entendre en façade et rendre plus complexe son jeu de dupes.

Mais l’homme a encore des ressources qu’il entend bien faire connaître.

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