A ma droite, j’ai nommé
https://jcbarousse.fr/picture?/6195/category/317-anterieur_2010Le 1er, nommé chef du gouvernement reste dans le collimateur de la presse tous médias confondus.
Sans doute pour le protéger étant donné qu’il est le plus jeune nommé à ce poste depuis qu’il existe.
Et, aussi, pour son genre annoncé et totalement assumé par l’intéressé.
Aussi, les journalistes le suivent partout.
Et nous informent dans tous ses nombreux déplacements même lorsqu’il se rend au cabinet.
Deux jours de feuilleton prenant en espérant qu’une guerre stupide ou autre fâcheuse manifestation de mauvaise espèce ne vienne troubler notre si beau spectacle.
Certains restent accrochés à leur téléphone.
D’autres y sont suspendus.
Chacun attend la sonnerie bienveillante qui les rendrait heureux et fier d’eux.
Perso, je n’attends rien.
Et suis content, car je n’ai rien eu… Les heureux désignés ont commencé leurs tournées triomphales.
A commencer par le premier des ambassadeurs venus parler France à l’Ukraine toujours en guerre « les efforts principal(s) » ; pas sûr qu’il y séjourne longtemps.
Planétaire, le vide sidéral de l’information sur la Toile.
Une chronique du jour qui se veut donc quotidienne se doit, chaque journée qui se fera, préparer la nouvelle du jour qui suit.
Il faut donc savoir remplir des lignes de mots formant une phrase ne disant pas grand-chose.
Ainsi, pour ce jour, apprend-t-on que le 1er nommé veut baisser les impôts de la classe moyenne.
Seul nous est donné le pourcentage, 75 %, de ceux qui estiment en faire partie.
Mais pas question de se mouiller pour donner les chiffres en euros… Nous sommes bien partis.
Je ne voulais pas dénoncer ; mais, le message est revenu, toujours en sa forme courriel.
Il indique jusqu’à 50 % de réduction ; Cocorico, à moi les bonnes affaires !!! Mais, en consultant, certes de manière compulsive, les pages du site concerné, force est de constater le nombre d’articles à 5 balles de réduction sur un global de 45-50€, voire plus parfois moins.
Mais, de 50 % de réduction, faut se creuser les méninges dans une tête déjà embuée par les larmes à venir d’un semblant de « je me suis fait avoir »…
