A l’heure du numérique

Hé oui, à l’heure du numérique partout, pour tous et pour toutes, ceux qui la prévoit, l’invente, la crée, la gère représente un groupe homogène très dangereux pour l’avenir futur.

Non, pas que chacun le composant soit méchant, horrible, assassin.

Mais parce que l’on cherche vainement la « chacune ».

Oui, l’ère informatique de demain sera genrée masculin sans laisser de place au genre féminin.

Mais, peut-être pire encore.

Dans ce groupe homogène masculin, il n’y a que des têtes blanches même si elles ne sont pas toutes blondes.

Là encore, l’on constate, sans manière de dire, la domination du mâle blanc sur tout le reste de l’existence.

Il y a donc urgence pour le bon avenir de nos sociétés que le melting-pot, comme ils disent, soit rapidement opérationnel.

Et, surtout, ne pas oublier, que chez les personnes de couleurs, les africains d’où ils sortent, les indiens, les américains du Sud et chez les autres, la femme existe aussi comme les transgenres et tout ce qui fait la vie diversifiée de nos temps à vivre en harmonie.

Il y en a même un qui monte, monte, comme la petite bébête que l’on aimerait bien se débarrasser mais qui reste fixée comme le sparadrap du capitaine Haddock.

Allez savoir si ce dernier serait ravi d’apprécier que son nom soit associé à ce trublion clown d’extrême droite.

Par contre, les bonnes gens de tous les jours semblent bien s’amuser de ses pitreries dignes du café du commerce.

Mais chez lui ce n’est certainement pas la paix qu’il recherche même si le quartier est dans ses moyens.

Ainsi l’homme qui a trouvé le bon filon pour vendre son bouquin dépasserait les autres de droite extrême en espérant faire un score à empêcher la cheffe d’extrême droite auto-déclarée, parricide, aimant les chats, les bobos mais pas les migrants, de se présenter en bonne forme, à suivre…

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