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D’un titre d’un hebdo pourtant réputé de gauche tranquille ; le futur patron de la droite extrême serait borgne.
Il est certain que le journaliste doit être fier de sa tirade, mais bon dire qu’il serait virage extrême droite, c’est beaucoup espéré.
C’est certain, il fait fort pour prouver que la sienne de droite est ferme, bien présente.
Non content de tirer sur les ambulances, il réclame que l’on assassine les migrants en les renvoyant chez eux vers une mort certaine que ce soit la faute du pouvoir toujours aidé par une police aux ordres, la sécheresse ou autres plaisanteries de Dame nature n’en pouvant plus des agissements des pays développés mais se vengeant, en forme d’avertissement, sur les plus démunis.
Ayant bien compris cela, notre homme, puisqu’il s’agit d’un, tape toujours plus fort en stigmatisant un quartier d’une ville qu’il doit bien connaître pour en parler ainsi aussi bien.
Pourtant les habitants desdits quartiers ne sont pas d’accord, certes, ils reconnaissent des problèmes comme partout ailleurs ou à pas feutrés dans le grand hall désert su siège de cette étrange secte qui se prend pour le nombril du monde croyant être le seul opposant à s’opposer ouvertement aux débilités gouvernementales.
Mais c’est vrai que si tout ces gugusses disparaissaient dans un autre monde, par exemple en Outre atlantique, cela nous ferait chaud au cœur, ferait revenir les riches, et plairait au chef de guerre qui n’attend que cela pour entamer la troisième définitive.
Un grand pas pour la résorption du chômage, un petit pour les abrutis.
Et dire que l’on va se le coltiner encore longtemps, c’est à croire que la seule politique à suivre est celle d’en marche qui nous réchauffe doucement en ces temps annonçant un hiver sans faille.
Dommage que les anciens soient disparus, ils étaient du même tonneau, mais au moins l’on riait vraiment bien…
