Une de la majorité en cours s’étonne que certains soient opposés au pass sanitaire inventé par les pas rigolos du gouvernement.
L’un de ces arguments est très fort.
Elle dit qu’il faut rendre libre les personnes actuellement emprisonnées.
Cela ressemble étrangement au fait d’assécher les fonds sociaux pour constater leurs déficits et affirmer qu’ils ne peuvent plus suivre.
Justifiant ainsi la baisse drastique des allocations versées.
Mais, là, ce n’est plus purement matériel, cela va nettement plus loin.
Car cette mesure liberticide créée forcément des apatrides dans leur propre pays.
C’est l’apartheid à la mode d’un gouvernement démocrate français.
Une manifestation a été interdite parcequ’une d’y il y à plusieurs années passées s’était mal passée.
Alors même qu’elle avait été à l’époque interdite.
Mais, aucune certitude de crainte que cela aurait été le cas ce jour.
Autrement dit, le gouvernement se réserve le droit de dire qui a le droit de manifester ou non.
Pourtant, si les craintes pouvaient être justifiées, les organisateurs de cette manifestation auraient certainement accepté de prévoir des modalités de défiler pour éviter cette haine.
L’un se fait un plaisir de renoncer à ses émoluments de capitaine de la bottre car il touche déjà beaucoup trop avec ses rentes annexes.
L’autre croit malin de faire de la résistance pour ne pas communique sa fiche de salaire de haut commandement des armées de France, alors que son salaire est déterminé par loi.
Dans les deux cas, stupidement, ces deux jouent avec un élément apportant toutes les suspicions.
Si l’on n’est pas rémunéré pour ce que l’on fait, doit-on comprendre que le poste n’est réservé que pour ceux qui ont les moyens d’agir ainsi ? Quand à l’autre, une résistance de principe n’est-elle pas contre-productive d’un air dire sur que je touche autre chose que ce qui est dit réglementairement… ?