Salon part
Le salon des veaux, vaches, cochons et politiques s’en est fermé.
Ces derniers sont repartis pour de nouvelles aventures sur leur beaux destriers sans conduite autonome.
L’impérieux après avoir sentir les odeurs du foin épicé s’en est allé respirer celles des épices dont il espère bien faire commerce.
L’histoire ne nous dit pas, ou nous dira peut-être, s’il ramènera quelques esclaves permettant de faire baisser le coût du travail pour ses copains banquiers riches.
Le droitier de la droite extrême décomplexée couvert de fumier malodorant car il a loupé le stand bio, continue sur sa lignée de droit lancier au sabre clair.
Ha qu’il soigne sa si belle caricature l’ange démoniaque qu’aucune bonne famille ne voudrait comme gendre, car bientôt une bande dessinée va sortir à son déshonneur.
La belle du coche qui le rate tout le temps n’est pas estée trop longtemps vu qu’elle passe son temps à compter son argent qui coule trop vite dans une vie pas tranquille.
Un peu comme ses voix qu’elle perd la vois que le fisc voudrait lui faire rendre gorge ; pas sympa de vouloir faire exploser une ambulance.
La père méluche est (re)parti pêcher au gros.
Comme son ex- alter-ego de d’extrême droite qui tente de se rappeler sa vie de breton, s’essaie à se faire entendre par des médias qui tardent à le comprendre.
Ce n’est évidemment pas en constatant qu’il fait comme les autres de ses copains politiques au bas niveau des ses notes de frais, qu’ils arriveront à bien voir la différence de son intelligence de gauche.
Mais le bio, lui va bien, tout le monde le voit arriver dans nos assiettes en grande consommation pas vraiment directe.
Et tant pis si pour satisfaire la demande et l’appétit des intermédiaires, courts oui je sais, et distributeurs, une fois le total du calcul réalisé l’on peut se demandé s’il n’y a pas esbroufe de déclarer bio en France un produit d’ailleurs répondant à d’autres normes.
Au fait, les victuailles sont-elles transportées électriquement, au fioul ou gazpart ?