Les masques (re)tombent. Dans la capitale des gaules, le vieux confirme son retournement de veste.
De la gauche approuvée, il avait été ministre, puis ministre de la droite très à droite de la gauche, il avait prêté serment au jeune illuminé aux dents longues.
Désormais, puisqu’en son royaume, on ne lui fait plus la génuflexion voire certains à plusieurs sont en dissidence.
Il sort donc par la petite porte pour permettre à la droite libérale de s’emparer de ce qui était son fief.
Le mal endormi a fait un tour de piste de trop.
Le courant ne passe plus chez le constructeur national qui ne construit plus ses modèles sur sol national mais ne se plaint pas de les vendre à domicile.
Il va empocher 5 milliards de crédit nationalisé à 90 %, ce qui laissera 500 millions aux bons banquiers qui auront fait souscription au guichet masqué.
Mais ils savent bien que l’État nation ne laissera pas flamber son fleuron.
Dans l’incertitude aléatoire, l’ambiance est désormais électrique.
A propos, ce (re)virement d’un tournant en véhicule dit propre se dit qu’il le serait nettement moins si l’on acceptait de considérer l’ensemble de A à Z et non seulement Z.
Selon des études dont on sait toutefois certaines pertinences, la voiture électrique ne serait pas si neutre que cela, voire moins que votre bon vieux diesel que l’on veut mettre à la poubelle non recyclable.
Car le problème, avec l’électrique actuelle est les matières utilement indispensable à la construction des batteries et, une fois leur capacité atteinte selon le principe de Peters, les difficultés de stockage, car les belles seraient polluantes hors d’usage de ne pas nuire.
Mais les bonnes fées veillent sur nous puisqu’il est décidé d’amplifier le réseau de recharge afin que chaque véhicule puisse avoir sa dose sans attendre de payer le prix fort au moment fatal.
Sinon, 5 milliards d’Euros pour licencier 15 000 personnes à travers le monde, ce n’est pas cher payé l’écœurement qui ne coule pas de source.