Tandis que le réélu à faible majorité fait le beau en hélicoptère pour fêter un ancien esclave devenu chef avec des esclaves à sa botte, il faut le dire, les patrons râlent de ne pas pouvoir gérer les leurs comme ils le voudraient.
Et, paradoxalement, leur obligés de droite extrême s’allie avec l’extrême droite pour refuser toute migration qui pourtant fait la fortune de leurs patrons.
Allez comprendre entre les besoins purement capitalistes et ceux politiques.
Perso, je préfère répondre plus positivement aux besoins politiques, écologiques qui obligent des tas d’être humains, oui ce sont, à aller chercher meilleure fortune ailleurs.
C’est pas fitch de mal noter la détermination totale du gouvernement.
Franchement, ce n’est pas de sa faute si dans ce pays ingouvernable, si on les écoute, il n’y a que des gaulois réfractaires.
Après l’interdiction de tout amplificateur de sons comme des casseroles, les visites surprises ne pouvant être pistées a priori, vient d’arriver celle de tracter.
Mais, bien entendu, il n’y a pas d’entorse à notre belle République qui ne descend vers un peu plus de totalitarisme.
Le réélu à faible majorité n’ira pas, au final, salué les joueurs sur la pelouse.
Comme l’empereur romain, jadis, il leur portera le salut du haut des gradins où se trouve son rang.
La Démocratie est sauve puisque le décret fallacieux a été annulé en référé.
Comme beaucoup, c’est l’écran de télévision qui m’a servi les images de la finale de Coupe de France.
Comme celles-ci sont d’une objectivité à tous crins de journalistes soucieux de laisser percevoir la réalité des faits, je me suis dit « Tiens la contestation a loupé son coup : pas un sifflet, pas un carton destiné au réélu à faible majorité ».
Pourtant, il n’en est rien.
Malgré l’obstination du pouvoir et de la fédération de ce sport qu’elle n’honore pas, il semble bien que le public, en grande douceur, ait voté le 49.3 à l’encontre de qui vous savez…
