Y renoncer ou pas ?

Tout est possible avec notre transporteur national même ce qu’il n’avait pas jugé possible.

Avec son entrain légendaire, il a trouvé une solution : affréter spécialement quelques uns des Tgv au repos forcé pour emmener gaillardement les enfants sans parents.

Ha si l’assistance publique pouvait être aussi solidaire.

349 enfants qui auraient pu être agressés sexuellement par un chirurgien qui a profité de l’exercice de sa profession pour les abuser.

Mais l’homme, ou plutôt l’homme malade, grand malade, s’il reconnaît des déviances sexuelles nie tout viol.

Dans la tourmente de la réforme négative pour tous de la retraite, l’illuminé a déclaré vouloir renoncer à la sienne de président qu’il est.

Serait-ce parce que ladite réforme ne concerne pas ce statut tout particulier où un individu en pleine forme se permet l’obtention de la retraite avant son heure tout en se réservant le droit de cumuler avec d’autres revenus même salariés ? Au-delà de la simple démagogie, l’on constate, et c’est tant mieux pour eux, qu’une fois leur mandat terminé, les heureux élus n’ont pas à craindre pour leur niveau de vie.

Pendant ce temps là, le nouveau qui a remplacé l’ancien dévoyé confirme que le gouvernement ne reviendra pas sur l’abolition de la peine de mort, heu des régimes sociaux s’entend.

Puisque l’affaire est entendue, l’homme brave exhorte les syndiqués en grève de faire la trêve des confiseurs pour se gaver de foi gras d’autant plus que les avancées consécutives aux négociations non forcées donnent un nouveau jour de clarté à cette réforme qui dans coup d’un seul s’éclaircie sans artifice.

Au fait, selon les dires des calculs des expérimentés, le déficit des caisses, dont il faudrait dire d’où il vient, n’est que temporaire puisqu’un retour à une période bénéficiaire est prévue d’ici quelques années : avant ou après l’actuelle réforme non mise en route ?