Il dit vouloir combattre contre la mère parricide aimant les chats et les jeunes bobos.
Alors, il va combattre sur les terres socialistes.
Tout en même temps pour complaire à son patron totalement illuminé.
Et, pendant ce temps, il ne fait pas grand-chose, si ce n’est rien, pour favoriser l’émergence de vraies bonnes lois pouvant stopper les troupes d’extrême droite.
Mais peut-être que dans les faits, la cheffe d’extrême droite parricide aimant les chats tout comme les jeunes bobos, celle-ci va-t-elle comme son paternel, faire voir son vrai jour « l’obsession de Monsieur Dupont-Moretti à mon égard commence à devenir relativement étrange.
Il parait qu’il reste quelques bracelets « anti-rapprochement” en rab, je suis preneuse ».
La belle en profite, en rab, de se gausser méchamment du féminicide ayant fait les dernières unes des journaux papier et télé.
Mais, celle qui prétend avant tout au poste suprême emploie-t-elle un langage jeune pour se rapprocher de ceux-ci.
Tout comme faire voir par un lapsus bien senti qu’elle ne cesse de penser aux femmes y compris les battues.
D’une pub d’un livreur qui prétend être plus important que les restaurateurs dont il est simple prestataire, il est dit que l’on peut remplir son frigo avec des produits à partager et d’autres à surtout ne pas le faire.
L’on comprend mieux lorsqu’il s’agit de frites.
C’est pas beau… De plus en plus, et la tendance s’est accélérée avec la Covid, l’on désigne du doigt le malade.
Certains mettent en avant le fait, que si celui-ci avait fait attention à sa santé, il serait moins malade.
Et, surtout, ne pensez pas à une quelconque compassion.
En fait, ceux qui disent cela ne pensent qu’à une seule chose : et si l’on économisait le portefeuille en rendant responsable les atteints ?
