Une certaine pub de comparateur nous dit que « c’est aussi simple que cela » ; oui, peut-être, mais est-ce bien réaliste ?? Dans cette famille, tout le monde joue à un jeu de société célébré pour sa simplicité sachant que dès le départ, le risque est grand de passer par la case prison.
Le père y est, la mère n’a pas la santé sinon, et le rejeton s’y est précipité.
D’aucun dise que les chats ne font pas des chiens et vice versa… Mais en nettement moins drôle que cela ne fait pas vraiment sourire ; les pays de l’Est, en particulier mais pas que, voient les forces obscures du totalitarisme, catho extrêmes et facho réunis, se soulever contre la reconnaissance du genre.
Peu leur importe à ces êtres que d’autres puissent vivre librement leur raison d’être.
Comme hier, ils ont décidé pour les autres, comme hier, ils veulent faire plier celui qui est différent quitte à l’éliminer radicalement.
Qu’ils prennent garde au retour de bâton d’un boomerang leur infligeant le même sort libertaire.
Le coronavirus n’est décidément pas à prendre à la légère d’une mousse dont on se désaltère.
Aussi, pour ne pas finir en bière, une célèbre marque a-t-elle décidé à , l’insu de son plein gré de consentement de changer de nom afin de ne point la confondre et continuer à se faire mousser.
Le gouvernement change le modèle démocratique du pays : après avoir utilisé le 49/3 pour faire taire les opposants en chambre des députés réveillés, il invite les seuls syndicats à proposer des amendements à son projet de base.
Autrement dit, ce ne sont plus ceux désignés par le peuple qui font cette loi scélérate, désormais, mais des entités spécifiquement sélectionnés de plein gré et en toute connaissance de cause par e gouvernement autoritaire à la tête duquel se trouve un impérial inaccessible.
