Voir plus loin

200 gendarmes et 400 policiers mobilisés pour choper le fou de pas dieu avant samedi qui vient, est un sacré challenge.

D’autant plus qu’il s’est peut-être envolé hors de nos frontières.

Sinon, il risque de manquer d’effectif pour arrêter les casseurs qui eux sont bien visibles.

S’il est certain que le mouvement va perdurer étant donné les miettes accordées et tout ceux oubliés dans l’histoire, il n’est pas bon de vouloir faire la grande Histoire en évoquant un quelconque complot que comme quoi le gouvernement aurait initié cet attentat pour calmer les gens à ne pas faire la fête prochainement.

Ou alors, il faut sortir les vraies preuves du forfait et ne pas se contenter de rumeurs de corbeau qui aime la délation purement anonyme.

Ami(e)s gilets jaunes, conservé votre apparat actuel, surtout n répondez pas aux sirènes de ceux qui voudraient vous voir de noir vêtu.

Laissez cela aux casseurs débiles qui ne se rendent même pas compte que leurs exactions causent encore plus de malheur à ceux qu’ils disent vouloir défendre les intérêts.

Au fait, les patrons sont à l’Élysée, invités en grandes pompes d’apparat, pourquoi pas les gilets jaunes qui n’ont eu droit qu’au subalterne ? Pourtant, il y a bien plus grave en la matière rance.

L’impérieux n’a accepté de faire des concessions minimes et un petit mea-culpa de séminariste repenti que devant les violences qui s’aggravent au fur et à mesure de son aveuglement laissant ainsi libre champ aux groupuscules extrêmes de jouer à leurs batailles favorites, puis aux pilleurs.

Mais, jamais, il n’a voulu entendre la plainte des gens au motif qu’ils sont gaulois.

Et d’annoncer, visiblement, des mesures dont il n’a pas vérifié sérieusement l’étendue.

Désormais, c’est à ses sous-fifres de voir comment faire, par exemple, pour que tout ceux qui sont payés au smic touchent l’aumône de 100€ sans qu’il en coûte rien aux patrons qui n’en veulent pas ; joli devoir de vacances de fêtes de fin d’année.

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