Vie ou décès pourquoi choisir..

L’assurance vie, dans les faits recouvrent, deux notions : la vie par elle-même et sa fin se traduisant par le décès de l’assuré.

Ces deux risques bien distincts peuvent être souscrits conjointement comme une suite logique.

Mais, ils peuvent faire l’objet de contrat distinct.

Et chacun à sa propre logique d’existence.

L’assurance vie tout d’abord est plutôt un contrat de capitalisation qui peut prend forme selon l’objectif attendu.

Le plus simple pour ne pas dire simpliste, est le versement d’un capital à la souscription.

Le contrat en prévoit le versement du capital majoré des intérêts perçus tout au long de sa carrière à l’échéance prévue.

Certains prévoient la possibilité de faire des versements périodiques ou selon le gré du souscripteur, comme le retrait partiel à la demande.

Le placement est plus ou moins sûr selon que vous acceptez de prendre ou pas de risques de placement.

Il faut toujours se rappeler que plus les risques pris sont importants, pas trop tout de même car vous n’êtes pas l’assureur, plus le taux de rendement, c’est-à-dire de profit, est élevé.

Mais, avec, en principe, un risque aussi élevé de perte de capital à hauteur du placement effectué.

Si le souscripteur décède avant l’échéance de versement, le contrat « réagit » comme un contrat décès.

Le capital restant à courir est versé selon la clause des bénéficiaires inscrite au contrat.

Pour la petite histoire, sachez que vous pouvez modifier à l’envi cette clause.

Par contre si l’un des bénéficiaires bien informé, fait savoir qu’il accepte le bénéfice du contrat, vous ne pourrez pas revenir dessus.

Si le contrat de capitalisation ressemble au trop fameux Livret A ou autres proposés par les banques, le contrat assurances décès est plus classique.

Moyennant le versement d’une somme périodique, voire d’un versement unique, mais souvent pour des considérations fiscales, l’assureur s’engage à verser au(x) bénéficiaire(s) nommé(s) un certain capital majoré d’intérêts le cas échéant, à la suite du décès du souscripteur.

D’autres variantes, très courantes, existent notamment l’assurance décès pour couvrir une dette lors d’un achat à crédit.

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